J’ai pris l’anus de mon mari

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il y a 6 ans

J’ai pris l’anus de mon mari

C’est arrivé sans que je le décide. Un banal 69, moi sur Cédric, et lui allongé sur le dos, les genoux repliés et écartés… Sa queue était dans ma bouche, mais j’avais arrêté de sucer parce qu’il me léchait si bien que j’étais très concentrée sur mon plaisir. J’ai ouvert les yeux sur son petit trou et tout à coup, je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête, j’ai appuyé du bout du doigt sur la corolle brune. C’était la première fois que je faisais ça. La réaction a été immédiate, sa bite a bondi contre mon palais, m’étranglant à moitié. Il m’a attrapée par la nuque. « Arrête, tu vas me faire partir … »

En temps normal, Cédric est très endurant et il ne jouit que lorsqu’il l’a décidé. Quelquefois, même, ça m’énerve. J’aimerais le voir perdre la tête. J’ai compris qu’il y avait là une source de plaisir que je n’avais pas soupçonnée… J’ai fait glisser un doigt dans sa raie. Il a enfoncé sa langue dans ma chatte avec un gémissement. Très excitée, je me suis redressée et, le prenant par les hanches, sans un mot, je l’ai un peu bousculé pour lui faire comprendre qu’il devait se mettre en levrette. Il a obéi. Je me suis dit qu’il n’avait peut-être attendu que ça depuis que nous étions ensemble ! Assise sur le bord du lit, j’ai joué avec ses poils, les démêlant entre mes doigts pour accéder à son petit trou. De l’autre main, par-derrière entre ses cuisses, je lui tenais la queue appliquée contre le ventre, ce qui me permettait de tester ses réactions. Et il y en avait ! Elle était parcourue de frissons, de spasmes…

J ‘ai passé un coup de langue sur sa rosette. Contre mon poignet, j’ai senti ses couilles se rétracter comme elles le font quand il va jouir. J’ai fouillé de l’index, et son œillet s’est fermé. J’ai attendu qu’il se détende en caressant ses fesses de ma joue, en dessinant des huit avec ma langue sur sa peau brûlante. Il avait la chair de poule. Il a fini par s’ouvrir sous mon majeur. J’aurais dû le mouiller plus car ça avait du mal à glisser, mais je ne voulais pas perdre le peu de terrain que j’avais gagné… Si j’enlevais mon doigt, il allait peut-être se reprendre. Je me doutais bien qu’il avait un peu honte, comme ça, à quatre pattes, la tête basse comme un condamné. Mais son gland laissait filer du jus dans ma paume. Mon chéri mouillait comme une fille ! J’ai frotté doucement toute sa tige contre son ventre gluant. Ouvrant sa fesse avec le pouce de la main qui le pénétrait déjà, j’ai fait couler de la salive sur sa rosette et j’ai touillé de l’index, pour que ça lubrifie l’intérieur. J’ai senti, par-dessus l’odeur musquée de ses couilles, celle de son cul, plus poivrée. Ça m’a enflammée, et j’ai eu envie de l’enculer à fond.

Sur la table de chevet, une bougie blanche éclairait la chambre d’une lumière romantique. Il y en avait d’autres, toutes neuves, dans le tiroir. Quand Cédric m’a entendue l’ouvrir, son cul s’est contracté désespérément sur mon doigt. J’ai compris qu’il avait songé aux bougies bien avant moi, qu’il avait craint ou peut-être désiré que j’y pense aussi. Il n’a opposé aucune résistance. J’ai tenté de faire glisser la bougie le long de mon doigt pour que son trou n’ait pas le temps de se refermer, mais je n’y suis pas arrivée, et tout est sorti : doigt et bougie. J’étais à nouveau face à sa rosette à peine froissée. Il fallait tout recommencer. J’étais si excitée que je n’avais plus de patience. J’ai dit sèchement : « Je vais te cracher dans le trou et je vais te le percer ! » C’est ce que j’ai fait, enfonçant fermement la bougie entre ses fesses écartées. Un tremblement v i o l ent lui a secoué tout le corps. J’ai senti sa queue se tendre et se durcir dans ma main, et il a juté comme jamais je ne l’avais vu faire, longtemps, longtemps, avec des gémissements rauques venus de loin. Quand les contractions du plaisir ont éjecté la bougie de son cul, on aurait dit qu’elle était passée par les flammes de l’enfer : elle était toute tordue. Je l’ai gardée comme ça, en souvenir du jour où j’ai enculé mon homme pour la première fois…

Karine

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